Bilan de Fin d’année du cabinet LEADD

Le vendredi 05 Février 2021, le cabinet LEADD  a organisé à l’hotêl Assouka d’Abomey Calavi, son bilan de fin d’année 2020. Devenu un rituel au cabinet depuis plusieurs années, le bilan est une séance d’échanges qui permet  de faire le point sur les réalisations de l’année et de se projeter pour la nouvelle année.

Pour cette édition, le personnel et les consultants de LEADD se sont réunis autour de  plusieurs thèmes dont « la gestion des conflits » et « la gestion du next level ». Ce fut également l’occasion  de réfléchir sur le plan stratégique du cabinet et de définir de nouvelles orientations pour les années à venir.

La journée s’est achevé avec une séance de team bulding au cours duquel, plusieurs exercices sportifs de groupe ont été réalisés. cela a permis de renforcer la cohésion et de développer davantage l’esprit d’équipe.

Pandémie de la COVID 19: quelle est la situation actuelle dans le monde

Depuis sa découverte en Décembre 2019 en Chine, la COVID19 continue de sévir dans le monde entier où environ 104 millions de personnes ont été contaminés avec plus de 2 millions de décès. Les pays les plus touchés sont les États Unis, le Brésil, le Mexique et L’inde. L’Afrique  reste  l’un des continents les moins touchés par la pandémie, avec 3,3 millions de cas de Covid-19, et presque 82 000 morts.

En Décembre 2020, le premier  vaccin anti-COVID-19 a été homologué. Il s’agit  du vaccin ARNm COMirnaty des laboratoires Pfizer/BioNTech. Depuis, plusieurs autres vaccins ont également été validés tels que Moderna et AstraZeneca. Leur administration a commencé un peu partout dans le monde avec comme priorité, la vaccination des personnes les plus à risque.

Une seconde vague de la pandémie a démarré en Octobre 2020 avec la détection de nouvelles variantes du virus  dans plusieurs pays notamment en Angleterre et en Afrique du Sud. la principale caractéristique de ces variantes est qu’elles se sont révélés plus contagieuses, ce qui a mis les systèmes de santé sous pression. Néanmoins, elles ne semblent pas provoquer de maladies plus graves ni augmenter le risque de décès.

Il convient donc de continuer à respecter scrupuleusement les gestes barrières que sont entre autres:

  • Le lavage des mains à l’eau et au savon ou au gel hydroalcoolique;
  • le port du masque,
  • le respect des distances de sécurité;
  • le dépistage lorsqu’on ressent l’un des symptômes du virus.

 

Sources:

https://www.who.int/fr/news/

https://information.tv5monde.com/info/

https://news.un.org/fr/story/2021/

Revue de Direction du cabinet LEADERSHIP ET DEVELOPPEMENT

Le cabinet LEADERSHIP ET DÉVELOPPEMENT  a organisé le mardi 19 Janvier 2021 sa Revue de Direction du deuxième semestre de l’année 2020. LEADD étant certifié ISO 9001 version 2015, elle se doit d’évaluer périodiquement son système afin de demeurer dans l’amélioration continue. La revue de direction  a  donc pour but de permettre à la structure de procéder à la revue du fonctionnement de son système de management de la qualité (SMQ)  afin d’en évaluer le niveau de performances et de recueillir les modifications à y apporter.

Cet exercice a réuni tout le personnel du cabinet ainsi que les consultants internes qui ont échangé sur divers points spécifiques dont:

  • la performance et l’efficacité du SMQ à travers l’analyse du niveau d’atteinte des objectifs qualité des processus et l’analyse de la satisfaction des différentes parties intéressées (Clients, Personnel, Fournisseurs, Prestataires de service);
  • la mise à jour du contexte et des parties intéressées pertinentes de LEADD.

Il a également été question de trouver de nouvelles opportunités d’amélioration du système et d’identifier les besoins en ressources pour assurer l’amélioration des performances.

 

Réalisation de l’enquête bio-comportementale, cartographie et estimation de la taille des transgenres au Bénin, édition 2020

Le cabinet LEADD a conduit d’Aout 2019 à Décembre 2020 la mission dénommée « enquête bio-comportementale, cartographie et estimation de la taille des transgenres au Bénin, édition 2020 »; mission commanditée par Plan International Bénin.

L’objectif de cette enquête  était de contribuer à une meilleure connaissance de la situation de l’épidémie du VIH au sein de la population des personnes transgenres au Bénin avec la mesure de la séroprévalence de l’infection à VIH et les facteurs associés, la cartographie de leurs lieux de socialisation et une estimation scientifique de la taille de cette population La mission a été conduite par une équipe composée d’un médecin, d’un sociologue, d’un biologiste, d’un cartographe et d’un statisticien.

Il s’est agi d’une étude transversale à visée analytique, se basant sur des données quantitatives et qualitatives. Les données quantitatives relatives aux personnes transgenres ont été collectées à partir de la méthodologie RDS; au total 290 personnes transgenres ont été interviewés au niveau de six zones de collecte (Cotonou, Abomey-Calavi, Porto-Novo, Ouidah, Bohicon, Parakou) et 161 sites de socialisation identifiés. Les données qualitatives ont été collectées au cours de focus-group réalisés auprès des personnes transgenres. Les données relatives aux sites de socialisation des personnes transgenres ont quant à elles été collectées auprès de 322 informateurs clés transgenres. Les données collectées ont été traitées et analysées avec des logiciels statistiques spécifiques.

Les résultats de l’étude ont été présentés au commanditaire lors d’un atelier  de validation qui s’est tenu à l’hôtel Terra NOSTRA de Ouidah les 16 et 17 Décembre 2020. A la suite de cet atelier, les observations faites par le commanditaire ont permis au cabinet de produire le rapport final de la mission.

Réalisation de l’évaluation du programme d’appui aux Projets Innovants des Sociétés Civiles et Coalitions d’Acteurs (PISCCA) 2019-2020

Le cabinet LEADERSHIP ET DEVELOPPEMENT a réalisé de Septembre à Novembre 2020 pour le compte de l’Ambassade de France au Bénin, l’évaluation du programme d’appui aux Projets Innovants des Sociétés Civiles et Coalitions d’Acteurs (PISCCA) 2019-2020 d’insertion sociale et professionnelle des jeunes vulnérables au Bénin.

le programme PISCCA est orienté vers les Organisations de Sociétés Civiles qui accompagnent les populations fragiles privilégiant notamment l’insertion sociale et professionnelle des jeunes vulnérables au Bénin. Les différents projets du programme ayant été conduits à leur terme, la présente mission d’évaluation a été commandée pour apprécier le travail réalisé, inventorier les changements induits et tirer toutes les leçons pour l’optimisation des nouveaux instruments de développement de la coopération française au Bénin.

L’approche d’intervention retenue pour cette évaluation fût celle de la participation. L’ensemble des parties prenantes du programme a été sollicité pour fournir les informations pertinentes spécifiques à chaque catégorie d’acteurs. Les outils de collecte, élaborés et validés par l’ambassade, étaient articulés autour des questions évaluatives contenues dans les termes de références. Les questions ont été reformulées de manière simple et précise pour permettre aux acteurs concernés, notamment les jeunes vulnérables bénéficiaires de comprendre et de répondre. Les informations ont donc été recueillies aussi bien par la consultation documentaire que par les entretiens directs organisés avec les différents répondants retenus avec l’ambassade lors du cadrage.

Des données aussi bien quantitatives que qualitatives ont été collectées sur le terrain. Les données quantitatives ont été traitées selon les méthodes classiques (saisie, traitement des données et calcul des proportions).
En ce qui concerne les données qualitatives, saisies sous le logiciel WORD suivant un canevas proposé, elles ont ensuite été codifiées par thème principal. Ces données ont été par la suite analysées selon leur contenu (méthode d’analyse de contenu), permettant ainsi de présenter adéquatement les résultats de l’évaluation.

COVID-19 et crise alimentaire: Quelle est la situation dans le monde?

Face au COVID-19, le Programme Alimentaire Mondiale (PAM) a déclaré que nous étions au bord d’une pandémie de la faim. En effet, dans le monde 135 millions de personnes sont déjà proches de la famine. Avec la crise sanitaire ce sont 130 millions de personnes supplémentaires qui pourraient être au bord de la famine d’ici la fin 2020.

Cette insécurité alimentaire grandissante n’est pas le fruit d’une baisse de la production mais bien un problème d’accès aux denrées alimentaires. Les mesures de distanciations sociales et de confinement sont venues mettre à mal les revenus de millions de personnes. Elles risquent de plonger 66 millions d’enfants supplémentaires dans l’extrême pauvreté.

Sans revenus ces familles ne peuvent plus se nourrir. Selon l’ONU, près de 370 millions d’enfants à travers 143 pays, n’ont pas eu accès au repas dont ils bénéficiaient à l’école, fragilisant alors davantage leur équilibre alimentaire.

Certains pays sont d’autant plus frappés par l’impact économique du COVID-19 en raison notamment de leur dépendance aux marchés internationaux. Alors que les échanges sont extrêmement perturbés, des pays exportateurs comme le Brésil par exemple, se retrouvent en grande difficulté. C’est le cas également de l’Egypte et de l’Algérie dont la production est essentiellement basée sur la monoculture.

Certaines régions du monde sont quant à elles déjà plongées dans un état de famine en raison des conflits qui sévissent. Il s’agit notamment du Yémen, du Soudan du Sud et de l’Afghanistan, pour qui les conséquences de l’épidémie de Coronavirus viennent aggraver la situation. La République Démocratique du Congo en proie à d’importants conflits pourrait basculer vers la famine, tout comme Haïti, le Pakistan et le Zimbabwe qui font face à une situation économique et environnementale préoccupante.

L’inquiétude est grandissante en Afrique de l’Ouest et notamment au Burkina Faso et au Niger. Alors que les conflits éclatent, l’aide humanitaire peine à accéder à certaines régions plongées dans une instabilité sécuritaire permanente. Alors que  près de la moitié de l’Afrique de l’Ouest vit de l’agriculture, la transhumance du bétail est impossible face à la fermeture des frontières et du confinement.

Dans les pays en développement, une grande partie des ménages vit de l’économie informelle. La pandémie les a alors plongé dans une extrême pauvreté car leurs sources de revenus ont été grandement fragilisées.

Source: https://www.visiondumonde.fr/actualites/

Accès à l’énergie dans le monde: quelques chiffres

Selon le dernier rapport publié par l’Agence internationale de l’énergie (AIE), l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), la Division de statistique de l’ ONU (UNDESA), la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’accès à l’énergie s’est sensiblement amélioré depuis quelques années, le nombre de personnes privées d’électricité étant passé d’un milliard en 2016 (et 1,2 milliard en 2010) à environ 840 millions aujourd’hui. Le Bangladesh, l’Inde, le Kenya et le Myanmar font partie des pays qui ont le plus progressé depuis 2010. Mais faute de mesures intensifiées et pérennisées, 650 millions d’individus seront toujours privés d’électricité en 2030.

En Afrique, l’accès à l’énergie est malheureusement hétérogène dans le continent. En effet, L’Afrique du Nord et L’Afrique du Sud ont un taux d’accès supérieur à 75%. Cependant les pays de l’Afrique sub-saharienne  ont un taux d’accès qui ne dépasse pas 50% et pour certains même, ne dépasse pas 15%. Le rapport révèle que près de trois milliards de personnes n’ont toujours pas accès à des moyens de cuissons non polluants, résidant principalement en Asie et en Afrique subsaharienne. Et elles devraient être encore de 2,2 milliards en 2030, ce qui n’est pas sans impact sur la santé et l’environnement.

Le rapport révèle également que les énergies renouvelables représentent 17,5 % de la consommation totale d’énergie, contre 16,6 % en 2010. Des efforts restent à faire à ce niveau pour que les systèmes énergétiques deviennent abordables, fiables, durables et adaptés aux usages modernes.

 

Source: https://www.banquemondiale.org/fr/news/press-release

https://www.lemonde.fr/afrique/

 

Formation des agents de collecte dans le cadre de la mission OGEAP de Social Impact

Le lundi 12/10/2020, le cabinet LEADD a organisé une formation aux agents de collecte en prélude à la collecte de données sur l’évaluation du projet « Accès a l’électricité hors réseau » du programme MCA BENIN II. Cette formation était l’occasion d’expliquer les objectifs de la mission et de donner les directives pour une collecte de qualité. Une sensibilisation a été faite sur le système de management de la qualité et sur la nécessité de respecter les exigences du clients.

La formation a été organisée dans le respect des gestes barrières et toutes les dispositions ont été prises pour que la mission se réalise dans de bonnes conditions : distribution de masques et de gels hydro alcooliques à utiliser sur le terrain.

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Crise sanitaire COVID 19: quels en seraient les impacts socio économiques dans le monde

La pandémie de Covid-19 et la crise économique qui en découle risquent de faire basculer dans l’extrême pauvreté entre 71 et 100 millions de personnes, selon de nouvelles estimations de la Banque mondiale. Ces projections se fondent sur deux scénarios : un scénario de base et un scénario pessimiste publiés dans des Perspectives économiques mondiales, édition de juin dernier. Le premier supposait que l’épidémie se maintiendra aux niveaux envisagés à l’époque et que l’activité reprendra plus tard dans l’année. Le second prévoyait que la crise sanitaire persistera plus longtemps, obligeant les pays à maintenir ou à réintroduire des mesures de confinement. Ce dernier scénario est de plus en plus redouté avec la reprise de la courbe de contaminations et l’annonce du retour au confinement partiel dans plusieurs pays.
Selon la Banque mondiale, la concrétisation de l’hypothèse pessimiste engendrerait la disparition des entreprises fragiles du marché. De même, les ménages vulnérables réduiraient fortement leur consommation et plusieurs pays à revenu faible et intermédiaire connaîtraient de graves tensions financières. Ainsi, la contraction de la croissance mondiale annoncée à environ 5 % en 2020 dans le scénario de base, atteindrait 8 % dans l’hypothèse pessimiste.
Une grande partie des nouveaux pauvres résideront probablement dans les villes, du fait de l’arrêt d’une grande partie de l’activité économique dans les zones urbaines qui prive plusieurs citadins déjà vulnérables de leurs moyens de subsistance. « Nos travaux indiquent que 30 % des nouveaux pauvres dans le monde vivront en milieu urbain, contre un taux de 20 % parmi ceux qui sont déjà pauvres», précise Carolina Sánchez-Páramo, directrice mondiale de la Banque mondiale pour la pauvreté. Défavorisées au départ, les zones rurales ne seront pas épargnées : elles connaîtront progressivement une détérioration des conditions de vie, y compris parmi ceux qui étaient déjà dans la pauvreté.

La directrice mondiale de la Banque mondiale pour la pauvreté préconise la mise en place de politiques et de programmes qui viennent en aide à la fois à ceux qui vivent déjà dans la pauvreté et aux nouveaux pauvres. Le recours à des mécanismes de ciblage et de mise en œuvre innovants à travers des dispositifs de filets sociaux adaptés à chacun des groupes permettra de protéger les ménages contre les répercussions de la pandémie. Ils favoriseront également une reprise économique qui intègre les travailleurs du secteur informel aussi bien dans les zones rurales qu’urbaines.

 

Source: https://lanationbenin.info/

 

Lutte contre la COVID19 au Bénin: des institutions aident le gouvernement à renforcer son dispositif

Voulant aider le gouvernement du Bénin dans le renforcement de son dispositif de riposte, trois grandes institutions que sont l’OMS, l’UNICEF et la commission de l’UEMOA ont fait des dons d’équipements et d’intrants essentiels à la lutte contre la COVID19.

Les représentants de ces institutions se sont rendus au cabinet du Ministère de la Santé pour apporter leurs contribution au dispositif de riposte du Bénin. Ces dons comprennent essentiellement:

  • des concentrateurs d’oxygène ;
  • des  Test TaqPathCOVID-19 CE-IVD RT-PCRKit,1000RXN ;
  • des centaines de milliers de  paires de gants latex ;
  • des masques de fabrication locale pour les relais communautaires ;
  • des bouteilles de gel désinfectant;
  • des combinaisons de protection;
  • des ordinateurs portatifs et des ordinateurs de bureau;
  • Une somme de 500 millions pour l’achat de kits et de masques.

Ces dons serviront à coup sur à améliorer le dispositif de riposte existant déjà.

 

Source: www.gouv.bj