Quelques informations utiles sur le cancer du foie

Le cancer du foie prend naissance dans les cellules du foie. La tumeur cancéreuse (maligne) est un groupe de cellules cancéreuses qui peuvent envahir les tissus voisins et les détruire. La tumeur peut également se propager à d’autres parties du corps (métastases). Le cancer du foie est l’une des trois principales causes de décès par cancer dans le monde. Il figure parmi les cinq premières dans 90 pays à travers le monde. Pourtant, les recherches indiquent que la plupart des cas de cancer du foie pourraient être évités. Les principaux facteurs de risque sont l’infection par le virus de l’hépatite B (VHB) et le virus de l’hépatite C (VHC). Une étude récente sur le rôle de la consommation d’alcool a suggéré que 17% de tous les cas de cancer du foie diagnostiqués en 2020 auraient pu être évités en réduisant la consommation d’alcool. Le tabagisme est également une cause importante de cancer du foie.
Selon les dernières estimations de l’OMS, 905.700 personnes ont été diagnostiquées avec un cancer du foie dans le monde et 830.200 personnes sont décédées de cette maladie en 2020.En supposant que les taux d’incidence et de mortalité actuels ne changent pas, les scientifiques estiment que 1,4 million de personnes pourraient être diagnostiquées avec un cancer du foie et 1,3 million de personnes pourraient mourir de cette maladie en 2040.
Ces dernières prévisions soulignent la nécessité de renforcer de toute urgence les mesures actuelles de prévention du cancer du foie, telles que la vaccination, le dépistage et le traitement de l’infection par le virus de l’hépatite B et C, a indiqué Mme Rugay,épidémiologiste au Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), ajoutant que des mesures visant à réduire la consommation d’alcool de la population et à freiner l’augmentation de la prévalence du diabète et de l’obésité peuvent toutes avoir un impact sur la réduction de la charge du cancer du foie. Plus globalement, la survie au cancer du foie reste faible, même dans les pays à revenu élevé, et peu d’améliorations ont été enregistrées au cours des dernières décennies. Par conséquent, l’OMS estime que la prévention primaire est essentielle pour réduire l’incidence et la mortalité du cancer du foie.

Impact de la COVID 19 sur la méningite en Afrique

La méningite est causée par l’inflammation des membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière et se transmet par les éternuements, la salive ou les mucosités provenant du nez et de la gorge des personnes infectées. La méningite bactérienne aiguë est l’une des formes les plus mortelles et les plus invalidantes de la maladie. Elle peut provoquer le décès dans les 24 heures, et une personne infectée sur cinq reste atteinte d’un handicap à vie après l’infection. La saison méningitique est particulièrement longue en Afrique, où elle s’étend de janvier à juin.La méningite touche les personnes de tous âges mais les jeunes enfants sont les plus à risque : près de la moitié des cas et des décès concernent les moins de cinq ans. De plus, la région africaine abrite le plus grand nombre de nouveaux cas de méningite dans le monde et se trouve être la seule région encore touchée par des épidémies de cette maladie. Le continent enregistre 100 cas de méningite pour 100 000 habitants, l’incidence la plus élevée au monde.
Les efforts déployés pour éliminer ce type de méningite ont connu un succès considérable. Alors que la méningite de type A représentait 90 % des cas et des décès avant 2010, aucun nouveau cas n’a été notifié depuis 2017. La lutte contre cette forme mortelle de méningite a entraîné une diminution des décès dus à la méningite de type A et à d’autres types de micro-organismes. Alors que 50 % des personnes atteintes de méningite sont décédées des suites de cette maladie en 2004, en tout, 95 % des cas ont survécu en 2021.
Malheureusement, la pandémie de la COVID 19 a gravement perturbé les services de prévention et de contrôle de la méningite, avec une forte baisse de la surveillance de la maladie, de la confirmation des cas en laboratoire et des enquêtes sur les flambées. Sur la base des rapports des pays, l’OMS a constaté que les activités de lutte contre la méningite avaient diminué de 50% en 2020 par rapport à 2019, avec une légère amélioration en 2021. Le Bénin, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Nigéria et le Togo ont différé leurs campagnes d’administration du vaccin MenAfriVac, qui visent à protéger un total de 50 millions d’enfants de moins de 12 ans contre la méningite de type A. « La victoire contre la méningite de type A est l’une des plus grandes réussites de l’Afrique en matière de santé, mais les conséquences de la COVID-19 entravent nos efforts pour éradiquer cette infection bactérienne comme menace pour la santé publique et pourraient entraîner des résurgences catastrophiques », a déclaré la Dre Matshidiso Moeti, Directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique, dans le communiqué de l’OMS. Elle exhorte donc les pays à accélérer la mise en œuvre de la nouvelle feuille de route régionale de l’OMS dès à présent, avant le début de la saison de la méningite en janvier 2023.

Source:
https://news.un.org/fr/story/2022

Réalisation de l’enquête sur les comportements liés au paludisme (MBS) au Bénin

Le cabinet LEADERSHIP et DÉVELOPPEMENT a conduit d’Octobre à Décembre 2021, la mission dénommée « Enquête sur les comportements liés au paludisme (MBS) au Bénin » commanditée par Breakthrough Action.
Les objectifs principaux de cette mission étaient de mieux comprendre les caractéristiques sociodémographiques et idéationnelles associées aux résultats comportementaux liés au paludisme au Bénin et de déterminer l’orientation appropriée des activités programmatiques conçues pour améliorer les résultats idéationnels et comportementaux liés au paludisme. De façon spécifique, il s’agissait entre autres de déterminer les facteurs idéationnels qui sont liés à l’utilisation, l’entretien et la réparation des moustiquaires ; d’identifier les facteurs idéationnels associés à un traitement rapide et approprié du paludisme chez l’enfant et déterminer sur quoi devraient porter les futurs programmes destinés à promouvoir des comportements appropriés en matière de prévention et de traitement du paludisme au Bénin.
L’enquête a été menée dans les 12 départements du pays, regroupés en 3 zones géographiques: Nord, Centre et Sud. L’enquête a permis de collecter des informations pertinentes sur les comportements liés au paludisme et leurs déterminants auprès d’un échantillon représentatif de ménages dans chaque zone, stratifié par résidence urbaine ou rurale. Les agents de collecte des données ont utilisé des questionnaires électroniques développés à l’aide de Survey Solutions et chargés sur des tablettes Android. L’échantillon final comprenait 3 534 ménages, 4 535 femmes en âge de procréer et 1 536 de leurs conjoints/partenaires masculins. Pendant le travail sur le terrain, des agents de collecte de données formés ont pris des mesures appropriées pour minimiser les risques pour les participants, notamment en obtenant un consentement éclairé avant de commencer les entretiens, en insistant sur la participation volontaire et le droit des participants de décider de ne pas participer à l’enquête ou de mettre fin à l’entretien à tout moment, et en soulignant le droit de refuser de répondre à toute question avec laquelle ils ne se sentent pas à l’aise.
La mission a été conduite par une équipe de consultants constituée d’un médecin en santé publique, d’un statisticien et d’un informaticien programmeur , une soixante d’agents de collecte et 3 coordonnateurs avec l’appui du PNLP, de l’université JOHN HOPKINS et du CCP.

Rapport 2021 sur les hépatites B et C en Afrique

Selon le tableau de bord 2021 sur l’hépatite publié en marge de la Journée mondiale de lutte contre l’hépatite, plus de 90 millions d’Africains vivent avec l’hépatite B ou l’hépatite C, qui sont les souches les plus mortelles du virus. Le tableau de bord note que plus de 8 % de la population totale de 19 pays est infectée par le virus de l’hépatite B, pendant que la prévalence de l’hépatite C est supérieure à 1 % dans 18 pays. Les hépatites B et C sont à l’origine de cas de cirrhose et de cancer du foie. « L’hépatite a été qualifiée d’épidémie silencieuse, mais ce tableau de bord vient tirer la sonnette d’alarme pour la Région et le reste du monde », a déclaré dans un communiqué la Dre Matshidiso Moeti, Directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique.

En 2020, la Région africaine représentait 26 % de la charge mondiale de morbidité due aux hépatites B et C, avec 125.000 décès associés. Environ 70 % des cas d’hépatite B dans le monde sont concentrés en Afrique. Les symptômes de la maladie apparaissant plusieurs décennies après l’infection par le virus. La Région compte 70 % de tous les cas d’hépatite B recensés dans le monde chez les moins de cinq ans, soit 4,5 millions d’enfants Africains infectés. Actuellement, 33 pays enregistrent une prévalence de l’hépatite B supérieure à 1 % chez les enfants de moins de 5 ans, une légère amélioration par rapport aux 40 pays recensés en 2019.

L’hépatite peut se transmettre par des produits sanguins contaminés, d’où la nécessité faire des progrès supplémentaires afin de garantir la sûreté du sang. Dans la Région africaine, seuls 80 % des dons de sang font l’objet d’un dépistage avec une assurance qualité, tandis que 5 % des seringues sont réutilisées.

Selon le document, la couverture de la vaccination des enfants contre l’hépatite B dans la Région est actuellement estimée à 72 %, bien en deçà de la cible mondiale de 90 %, niveau auquel le virus ne constituera plus une menace pour la santé publique. Le nombre de pays ayant une couverture supérieure à 90 % a augmenté, passant de 23 en 2019 à 27 en 2021. De plus, bien que la vaccination à la naissance ne soit administrée que dans 14 pays africains, avec une couverture globale de 10 %, il s’agit d’une hausse par rapport aux 11 pays de 2019, a détaillé l’Agence sanitaire mondiale de l’ONU. De plus, les taux de diagnostic et de traitement sont eux aussi particulièrement peu élevés. En 2021, seulement 2 % des personnes infectées par le virus de l’hépatite B ont été diagnostiquées et à peine 0,1 % d’entre elles ont été traitées. S’agissant de l’hépatite C, 5 % des personnes infectées ont été diagnostiquées et que près de 0 % ont été traitées.

Pour inverser la tendance, l’Agence onusienne préconise le transfert des services de prise en charge de l’hépatite (cliniques spécialisées) vers des établissements décentralisés et intégrés, où la plupart des Africains continuent de se faire soigner. « Bien que des avancées aient été réalisées pour rendre les médicaments contre l’hépatite plus abordables, des efforts supplémentaires sont nécessaires », a fait valoir la Dre Moeti

 

Source:

https://news.un.org/fr/story/

 

Espérance de vie en Afrique

D’après le rapport intitulé « Suivi de la Couverture sanitaire universelle dans la Région africaine de l’OMS, 2022 », l’espérance de vie en bonne santé en Afrique – ou le nombre d’années pendant lesquelles un individu jouit d’un bon état de santé – en moyenne de 10 ans et est passée à 56 ans en 2019, contre 46 ans en 2000. Si ce chiffre est de loin inférieur à la moyenne mondiale de 64 ans, il convient de noter que l’espérance de vie en bonne santé sur le plan mondial n’a augmenté que de cinq ans au cours de la même période.

« Fondamentalement, cela signifie que davantage de personnes vivent en meilleure santé, plus longtemps, avec moins de menaces de maladies infectieuses et un meilleur accès aux services de soins et de prévention des maladies », a ajouté la Dre Moeti. L’amélioration de la prestation des services de santé essentiels, les progrès en matière de santé reproductive, maternelle, néonatale et infantile, figurent parmi les facteurs qui ont contribué à prolonger cette espérance de vie en Afrique subsaharienne, selon l’OMS.

L’agence onusienne met également en exergue les avancées dans la lutte contre les maladies infectieuses, grâce à l’intensification rapide des mesures de lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme à partir de 2005. En moyenne, la couverture des services de santé essentiels s’est améliorée pour atteindre 46 % en 2019, contre 24 % en 2000. Les résultats les plus importants ont été obtenus dans la prévention et le traitement des maladies infectieuses.

Ces avancées pourraient néanmoins, être « compromis par l’impact de la pandémie de Covid-19, à moins que des plans de rattrapage solides ne soient mis en place », signale l’OMS . « Mais les progrès ne doivent pas s’arrêter. Si les pays ne renforcent pas les mesures contre la menace du cancer et d’autres maladies non transmissibles, les avancées sanitaires pourraient être compromises », a fait valoir la Dre Moeti. En moyenne, les pays africains ont signalé des perturbations plus importantes dans les services essentiels que les autres régions. Plus de 90 % des 36 pays ayant répondu à une enquête de l’OMS en 2021 ont signalé une ou plusieurs perturbations des services de santé essentiels, les services de vaccination, de lutte contre les maladies tropicales négligées et de nutrition étant les plus touchés. De plus, la plupart des gouvernements d’Afrique financent moins de 50 % de leur budget national de santé, ce qui entraîne d’importants déficits de financement. Seuls l’Algérie, le Botswana, le Cabo Verde, l’Eswatini, le Gabon, les Seychelles et l’Afrique du Sud financent plus de 50 % de leurs budgets nationaux de santé.

Par ailleurs, l’OMS note que l’une des mesures clés pour améliorer l’accès aux services de santé est la réduction dépenses catastrophiques à la charge des ménages par les gouvernements.  Les dépenses de santé sont considérées comme non catastrophiques lorsque les familles consacrent moins de 10 % de leurs revenus aux dépenses de santé, quel que soit leur niveau de pauvreté. Au cours des 20 dernières années, les dépenses à la charge des ménages ont stagné ou augmenté dans 15 pays.

Plus largement, le rapport recommande aux pays d’accélérer les efforts pour améliorer la protection contre les risques financiers, de repenser et de redynamiser la prestation des services de santé, en mettant l’accent sur l’implication des communautés et en faisant appel au secteur privé.

 

Source:

https://news.un.org/fr/story/

 

Réalisation de l’évaluation de la qualité de la prise en charge des cas de paludisme simple dans les formations sanitaires publiques et privées du Bénin

Le cabinet LEADERSHIP ET DEVELOPPEMENT a conduit d’Octobre 2021 à Février 2022 la mission dénommée « Évaluation de la qualité de la prise en charge des cas de paludisme simple dans les formations sanitaires publiques et privées du Bénin » commanditée par Management Science of HEALTH.

L’objectif général de cette étude était d’évaluer la prise en charge des cas de paludisme simple dans les Formations Sanitaires publiques et privées du Bénin. De façon spécifique, il s’agissait entre autres d’évaluer la qualité de la prise en charge des cas de paludisme (en mesurant la conformité aux directives nationales); de déterminer le niveau de préparation des formations sanitaires à fournir des soins contre le paludisme (en mesurant la capacité des prestataires en termes de formation de base, de formation continue et de supervision ce qui permettrait potentiellement de démontrer  une bonne connaissance de la politique nationale de prise en charge des cas de paludisme, la disponibilité des intrants de lutte antipaludiques et l’absence ou la rareté des ruptures de stock passées) ; et d’identifier les déterminants des comportements des prestataires liés à la gestion des cas de paludisme, au traitement préventif intermittent pour le paludisme lors de la grossesse TPIp, à la communication des données et à la communication inter personnelle entre les prestataires et les patients.

Il s’agissait d’une enquête transversale quantitative portant sur cinquante un (51) indicateurs retenus avec le PNLP dont  quatorze (14) en lien avec la prestation des formations sanitaires, vingt-sept (27) en lien avec les agents de santé et dix (10) avec la sortie des patients pour évaluer la prise en charge des cas de paludisme simple dans les Formations Sanitaires, représentatives de la zone d’étude. Au total 128 Formatons sanitaires ont été visitées sur 135 prévus, 1489 patients sur 1620 prévus ont été interviewés et examinés, 417 agents de santé sur 675 furent interviewés, et des données extraites de 1472 registres sur 1620 prévus.

La mission a été conduite par une équipe de consultants constituée d’un médecin en santé publique, d’un statisticien et d’un biologiste , 39 agents de collecte et 3 superviseurs.

Audit de re certification du cabinet LEADERSHIP et DÉVELOPPEMENT

Au bout des trois années de mise en œuvre, d’évaluation, de corrections, de réajustements, réévaluation votre cabinet a eu l’honneur d’accueillir l’auditeur pour une évaluation du niveau de performance du SMQ. A cet effet, chacun des processus clés du système ont été revisité afin de démontrer méthodiquement la mise en œuvre des diverses exigences de la norme et celles légales et réglementaires sans toutefois omettre la prise en compte de la satisfaction de nos illustres clients.
Cet audit de certification fut l’occasion que l’auditeur su promptement saisir pour établir de nouvelles recommandations et pistes d’amélioration qui seront prises en compte pour assurer une amélioration continue du système sur les trois prochaines années.
A nouveau certifié et ce pour les 03 prochaines années à venir, le Cabinet LEADD, à travers sa direction, se met résolument au service de la satisfaction des ses parties intéressées. Votre confiance nous oblige.

Formation sur le pouvoir de la confiance au cabinet LEADD

Le mardi 05 Avril 2022, le personnel du cabinet LEADD a reçu une formation sur le pouvoir de la confiance. Cette formation animée par m Fidèle ADJOVI avait pour objectifs de nous montrer l’importance de la confiance relationnel au sein du personnel pour l’atteinte des objectifs.

Il nous a expliqué que la confiance est  une variable cachée qui peut permettre à l’entreprise si elle est positive, de prospérer et d’avoir du succès. Dans le cas contraire, une basse confiance relationnelle  peut faire couler l’entreprise. Il nous a également expliquer que la confiance résulte de deux paramètres que sont la personnalité et la compétence.

Des exercices ont été faits pour mesurer le niveau de confiance personnel de chaque membre de l’équipe ainsi que le niveau de confiance relationnel au sein de l’entreprise. En fonction des résultats obtenus, des propositions d’actions ont été faites afin d’améliorer les performances de l’entreprise. 

Réalisation de la mission d’Opérationnalisation des indicateurs des cibles de mise en œuvre et celles de l’ODD 17

Le cabinet LEADERSHIP et DEVELOPPEMENT a conduit de Septembre à Décembre 2021 la mission dénommée « Réalisation de la mission d’Opérationnalisation des indicateurs des cibles de mise en œuvre et celles de l’ODD 17 ». Les objectifs de la mission étaient de donner les niveaux de référence en 2014-2015 des indicateurs, de faire une analyse de la situation des indicateurs associés, de préciser les sources de renseignement des différents indicateurs et relever les gaps existants, de proposer et motiver les niveaux intermédiaires (2025;2030) des 43 cibles de mise en œuvre et de produire une note synthèse sur la gestion des défis en lien avec le suivi des indicateurs des 43 cibles de mise en œuvre et des 19 cibles de l’objectif 17.

La mission  a été réalisée par un statisticien démographe et un expert économiste spécialiste en planification opérationnelle et évaluation des projets et programmes de développent,  sous l’égide de la Direction Générale de la Coordination et du suivi des ODD. A cet effet, un comité technique de huit cadres de ladite direction a été mis en place pour superviser et suivre les travaux.

L’approche générale qui sous-tendait la méthodologie de cette mission était articulée autour d’une démarche participative d’appréciations quantitative et qualitative des indicateurs des cibles de mise en œuvre et celles de l’ODD 17.  Elle a été déclinée en cinq grandes étapes que sont: séance de cadrage ; revue et analyse documentaire ; atelier méthodologique ; collecte, analyse et traitement des données; élaboration du rapport de l’étude.

Le rapport provisoire a été soumis à une validation nationale au cours d’un atelier organisé par le commanditaire qui s’est tenu le mardi 07 décembre 2021 au Codiam de Cotonou. A cet atelier, tous les acteurs impliqués ont été invités pour l’amélioration et la validation des différentes analyses et points retenus dans le document. Il s’agit principalement des points focaux ODD des ministères, de l’équipe de supervision ainsi que des représentants de la société civile, du secteur privé et de quelques partenaires techniques et financiers.

Bilan de fin d’année 2021 du cabinet LEADERSHIP ET DEVELOPPEMENT

Le cabinet LEADD a tenu le jeudi 10 Mars dernier dans ses locaux, son habituel bilan de fin d’année pour le compte de 2021. Cette séance qui a réuni le personnel et les différents consultants du cabinet était l’occasion d’analyser l’évolution de LEADD sur les deux dernières années,  de faire le point sur les réalisations de l’année écoulée, ce qu’il y a eu de positif, les points négatifs et également de se projeter pour la nouvelle année qui commence et de définir de nouvelles orientations stratégiques.

Il y a également eu une formation sur le thème « synergie et résilience: quelles approches pour une entreprise de services ? » qui avait pour objectif de transmettre à l’équipe les outils et compétences nécessaires pour travailler dans une entreprise qui propose exclusivement des services.