Deuxième revue de direction de l’année 2021 du cabinet LEADD

Le vendredi 04 Mars 2022, LEADD a une fois de plus sacrifié à l’exigence de la norme ISO 9001 version 2018 qui impose à tout organisme engagée dans la démarche qualité d’effectuer périodiquement, de façon planifiée une revue de direction. L’objectif de la séance était de faire le point sur le Système de Management de la Qualité du cabinet et de rechercher des opportunités d’amélioration.

Divers points ont été abordés lors de cette séance, notamment le niveau de réalisation des objectifs fixés en début d’année 2021, l’analyse des résultats issues des différentes évaluations et des enquêtes de satisfaction de nos partenaires et parties intéressées. Ces analyses ont donné lieu à des pistes d’amélioration qui seront déclinés en plans d’actions afin d’être réalisés.

Pour conclure, le processus Direction a réaffirmé son engagement à mettre à disposition les moyens nécessaires pour assurer le fonctionnement adéquat du système ainsi que la mise à disposition des moyens nécessaires pour l’atteinte des objectifs qualité.

 

Statistiques sur le cancer de l’enfant et de l’adolescent dans le monde

  Le mardi 15 février dernier, a lieu la journée internationale du cancer de l’enfant et de l’adolescent.Le cancer est l’une des principales causes de décès chez les enfants et les adolescents. On estime que, chaque année, un cancer est diagnostiqué chez 400 000 enfants et adolescents de 0 à 19 ans. Lorsqu’un cancer est diagnostiqué chez un enfant, la probabilité de survivre varie selon les pays : dans les pays à revenu élevé, plus de 80 % des enfants atteints d’un cancer guérissent, mais dans de nombreux pays à revenu faible ou intermédiaire, cette proportion est inférieure à 30 %. Plusieurs facteurs expliquent ces taux de survie inférieurs dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, notamment : un diagnostic tardif, l’impossibilité d’obtenir un diagnostic précis, des thérapies inaccessibles, l’abandon des traitements, les décès dus à la toxicité (effets secondaires) et les rechutes qui pourraient être évitées.

Un cancer peut survenir à tout âge et toucher n’importe quelle partie de l’organisme. Il débute par des modifications génétiques de quelques cellules qui se multiplient pour former une masse (ou tumeur). Cette tumeur peut se métastaser, c’est-à-dire provoquer l’apparition d’autres tumeurs ailleurs dans l’organisme, ce qui entraîne des lésions et le décès en l’absence de traitement. À la différence des cancers de l’adulte, la grande majorité des cancers de l’enfant n’ont pas de cause connue. De nombreuses études ont été menées en vue de déterminer les causes des cancers de l’enfant, mais il est très rare que ceux-ci s’expliquent par des facteurs liés à l’environnement ou au mode de vie.

Certaines infections chroniques, comme l’infection à VIH et le paludisme, sont des facteurs de risque de cancer chez l’enfant, en particulier dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. D’autres infections peuvent augmenter le risque pour un enfant d’être atteint d’un cancer à l’âge adulte. Il est donc important de vacciner les enfants (contre l’hépatite B pour prévenir le cancer du foie et contre le papillomavirus humain pour prévenir le cancer du col de l’utérus) et d’utiliser d’autres méthodes comme le dépistage précoce et le traitement des infections chroniques susceptibles de provoquer un cancer.Les données actuelles semblent indiquer qu’environ 10 % des enfants atteints de cancer ont une prédisposition en raison de facteurs génétiques. Le cancer de l’enfant n’étant généralement pas évitable, la meilleure solution pour en diminuer la charge et obtenir de meilleurs résultats est de se privilégier un diagnostic rapide et correct, suivi d’une thérapie efficace fondée sur des bases factuelles et de soins de soutien adaptés. Si le cancer est détecté tôt, il répondra probablement mieux à un traitement efficace, les chances de survie seront meilleures, les souffrances seront moindres et les traitements s’avèreront généralement moins coûteux et moins intensifs.

En décembre 2021, l’OMS et le St. Jude Children’s Research Hospital ont lancé la toute première Plateforme mondiale pour l’accès aux médicaments anticancéreux à usage pédiatrique afin d’assurer un approvisionnement ininterrompu en médicaments anticancéreux à usage pédiatrique de qualité garantie. Cette plateforme offre un appui complet, de la sélection à la délivrance des médicaments, suivant les normes de soins du niveau le plus élevé possible

 

Source

https://apps.who.int/iris/handle/10665/347370

https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets

Formation sur les innovations contenues dans le CGI 2022

Le samedi 05 Février 2022, le cabinet New Deal Consulting Conseils a organisé en collaboration avec le cabinet LEADERSHIP et DÉVELOPPEMENT, une formation sur les innovations contenues dans la mise à jour du Code Général des impôts et sur la loi des Finances 2022.

Au cours de la formation, le formateur nous a fait un résumé des différents livres contenus dans le CGI. Ensuite, il nous a détaillé les principales innovations du Code, notamment les différents impôts directs et indirects, les innovations sur le traitement des salaires, les différents droits d’enregistrement. Il nous a également également rappelé les différents régimes d’imposition, leurs particularités, les impôts exigés pour chaque types de régime ainsi que les périodes d’imposition. Les discussions ont également tournées autour des innovations sur la loi des finances 2022.

 

VIH SIDA: Un nouveau variant détecté

Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) a indiqué il y a quelques jours la découverte aux Pays-Bas d’un variant du VIH/sida plus virulent et plus contagieux. Selon les résultats de l’étude dans la revue en ligne Science, ce variant nommé VB s’est répandu aux Pays-Bas dans les années 1990 et 2000 avant de commencer à décliner en 2010 grâce aux programmes de détection et de traitement en cours.

Selon l’agence onusienne, les personnes atteintes par ce variant du VIH ont une charge virale du VIH plus importante. Elles sont vulnérables au développement du sida deux à trois fois plus rapidement après le diagnostic que si elles vivaient avec d’autres souches du virus. L’étude a également révélé que le variant VB détruit deux fois plus vite les globules blancs, véritable clé du système immunitaire.

Il faut noter que ce variant nouvellement identifié ne représente pas une menace majeure pour la santé publique car il reste réceptif aux traitements actuels du VIH que sont les antirétroviraux. Néanmoins, il souligne l’urgence d’accélérer les efforts pour enrayer la pandémie de VIH.

Pour rappel, le VIH reste la pandémie la plus meurtrière de notre époque. L’ONU estime que 79 millions de personnes ont été infectées par le virus, pour lequel il n’existe toujours pas de vaccin ni de traitement. Quelque 36 millions de personnes sont mortes de maladies liées au sida depuis le début de la pandémie et 1,5 million de personnes ont été nouvellement infectées par le VIH cette dernière année. Sur les 38 millions de personnes vivant avec le VIH aujourd’hui, 28 millions suivent un traitement antirétroviral salvateur, qui les maintient en vie et en bonne santé et empêche la transmission du virus.

Source:

https://news.un.org/fr/story

Audit interne de qualité au cabinet LEADD

Mettre en place un système de Management de la qualité est une décision stratégique qui mérite d’être reconnue. Au delà de cette étape primordiale, la quête de la performance accrue oblige les entreprises certifiées en assurer la surveillance périodique. Certifié depuis plusieurs années sur la norme ISO 9001, version 20015, le Cabinet Leadership et Développement a sacrifié à la tradition en effectuant les audits internes des divers processus qui vont vivre le système le 19 janvier passé. Cette occasion a permis aux pilotes processus de se questionner sur les résultats de pilotage, de performance et d’efficacité.
Pour rappel, l’audit qualité est outil d’évaluation objective qui permet d’assurer la conformité de la mise en œuvre du système face à des critères d’audit préétablis. Un outil dont le Cabinet Leadd sait se servir pour améliorer continuellement la qualité des services produits au profits de son aimable clientèle.

Résistance aux Antimicrobiens: Quelques informations utiles

Les antimicrobiens, y compris les antibiotiques, les antiviraux, les antifongiques et les antiparasitaires, sont utilisés pour prévenir et traiter les infections chez les humains, les animaux et les plantes. La résistance aux antimicrobiens (RAM) se produit lorsque des bactéries, des virus, des champignons et des parasites modifient leurs propriétés au fil du temps, affaiblissant ou annulant complètement l’efficacité de ces médicaments.

L’utilisation excessive d’antibiotiques ces dernières années pour des infections banales signifie qu’ils deviennent moins efficaces contre les infections graves. Des personnes meurent d’infections courantes, auparavant traitables, parce que les bactéries qui les provoquent sont devenues résistantes aux traitements. Les autorités sanitaires ont récemment prévenu que la résistance aux antimicrobiens était une « pandémie cachée » qui pourrait être « plus meurtrière à long terme que le virus Corona ». On s’attend à ce qu’elle cause environ 10 millions de décès par an.

Selon le dernier rapport publié dans le Lancet, Il est estimé que jusqu’à cinq millions de personnes sont mortes en 2019 de maladies dans lesquelles la RAM a joué un rôle; en plus des 1,2 million de décès qu’elle a causés directement. La même année, le sida (syndrome de l’immunodéficience acquise) aurait causé 860 000 décès et le paludisme 640 000.

La plupart des décès dus à la RAM ont été causés par des infections des voies respiratoires inférieures, comme la pneumonie, et des infections du sang, qui peuvent entraîner une septicémie. Le SARM (Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline) était particulièrement mortel, tandis que l’E. coli et plusieurs autres bactéries étaient également liées à des niveaux élevés de résistance aux médicaments.

À l’aide des dossiers des patients provenant des hôpitaux, d’études et d’autres sources de données, les chercheurs affirment que les jeunes enfants sont les plus exposés, environ un décès sur cinq lié à la résistance aux médicaments étant survenu chez les moins de cinq ans. On a estimé que les décès dus à la RAM étaient :

  • les plus élevés en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud, avec 24 décès pour 100 000 habitants
  • les plus faibles dans les pays à revenu élevé, soit 13 décès pour 100 000 habitants.

En mai 2015, l’Organisation mondiale de la santé a lancé un plan mondial de lutte contre la résistance aux antimicrobiens, y compris la résistance aux antibiotiques. Il vise à accroître la sensibilisation au phénomène, à renforcer la recherche et la surveillance, à réduire les taux d’infection, à rationaliser l’utilisation des médicaments antimicrobiens et à garantir la durabilité de l’investissement dans le domaine de la lutte contre la résistance aux antimicrobiens, par le développement de nouveaux médicaments plus efficaces.

Malheureusement, le déclenchement de l’épidémie de Coronavirus a coïncidé avec une énorme augmentation de la demande d’achat d’antibiotiques ; surtout dans le monde arabe, où la sensibilisation médicale est absente et où il est facile d’obtenir ces médicaments sans peu de contrôle dans de nombreux pays.

Source:

https://www.bbc.com/afrique/monde

Rapport sur la sécurité alimentaire en Afrique

La Commission de l’Union Africaine (CUA) a publié récemment pour la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA) et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) la dernière version mise à jour de leur rapport annuel sur l’état de la sécurité alimentaire et de la nutrition en Afrique. Ce nouveau rapport interactif montre que la crise alimentaire s’est amplifié en Afrique. En 2020, plus de 281 millions d’Africains étaient sous-alimentés, soit 46 millions de plus qu’en 2019 et même 89 millions de plus qu’en 2014, précise le rapport. Le nombre de personnes souffrant de la faim en Afrique continue d’augmenter, en raison des conflits, du changement climatique et des ralentissements économiques, notamment ceux qui sont dus à la pandémie de covid-19. Outre les 346 millions d’Africains en situation d’insécurité alimentaire grave, 452 millions sont en situation d’insécurité alimentaire modérée.

Les niveaux de la faim varient considérablement d’une sous-région à une autre. Sur le nombre total de sous-alimentés, 125 millions de personnes vivent en Afrique de l’Est (44%). Suivent l’Afrique de l’Ouest (75 millions ; 27%), l’Afrique centrale (57 millions ; 20%), l’Afrique du Nord (17 millions ; 6%) et l’Afrique australe (plus de 6 millions ; 2,4%).

Au total, l’Afrique représente plus de la moitié de l’augmentation mondiale du nombre de personnes sous-alimentées sur la période 2014-2020. En outre, l’Afrique de l’Est et l’Afrique de l’Ouest représentent 83 % de la hausse du nombre de personnes sous-alimentées à l’échelle du continent entre 2014 et 2020.

Le produit intérieur brut réel en Afrique a chuté de 2,1% en 2020, principalement en raison de la pandémie de covid-19, et de nombreux gouvernements ont rapidement élargi les mesures de protection sociale pour protéger les plus vulnérables.

Selon l’ONU et l’UA, la situation de la sécurité alimentaire est déterminée par un certain nombre de facteurs clés, qui se chevauchent souvent. Les conflits, la variabilité et les extrêmes climatiques, ainsi que les ralentissements et les fléchissements économiques sont les principaux facteurs de l’insécurité alimentaire en Afrique.

En perturbant les activités économiques et les moyens d’existence, la pandémie de covid-19 a entraîné un fléchissement économique spectaculaire en Afrique et contribué à l’aggravation de la situation de sécurité alimentaire.

Outre la faim, des millions d’Africains souffrent de carences généralisées en micronutriments, tandis que le surpoids et l’obésité sont déjà des problèmes de santé publique importants dans de nombreux pays.

Pandémie de la COVID 19: Point de la situation en Afrique

L’Afrique connaît déjà une quatrième vague de l’épidémie avec un peu plus de 3.000 décès qui ont été signalés au cours des trois premières semaines de la vague pandémique actuelle. Le continent a également enregistré plus de 196.000 nouveaux cas pour la semaine se terminant le 12 décembre, contre environ 107.000 la semaine précédente. Au total, le continent compte désormais près de 9 millions de cas de Covid-19 dont près de 225.000 décès.

Cette recrudescence des nouveaux cas, associée à un faible nombre d’hospitalisations, est particulièrement marquée en Afrique du Sud, qui a connu une augmentation de 66 % des nouveaux cas au cours des sept derniers jours par rapport aux sept jours précédents. Alors que les hospitalisations ont augmenté de 67% au cours des sept derniers jours, le taux d’occupation des lits dans les unités de soins intensifs reste faible, à 7,5%, et 14% des patients hospitalisés reçoivent de l’oxygène supplémentaire. En revanche, l’OMS admet qu’avec un nombre de nouveaux cas qui atteint des sommets, les taux doublant tous les cinq jours, il ne faut pas « baisser la garde ». D’autant que cette vague intervient pendant la période des fêtes de fin d’année, « marquée par les rassemblements et les voyages traditionnels, ainsi qu’une couverture vaccinale décevante ».

Plus largement, la couverture vaccinale reste très variable dans la région. Et l’Afrique pourrait n’atteindre l’objectif des 70 % de vaccinés qu’en août 2024, selon des projections de l’OMS, qui a de nouveau appelé à une accélération des campagnes de vaccination pour « sauver beaucoup de vies ». La barre des 70 % d’individus vaccinés dans une population est considérée comme essentielle pour contrôler la pandémie, a rappelé la Branche africaine de l’OMS. Or, au 13 décembre, seulement 20 pays africains avaient vacciné au moins 10 % de leur population, seulement 6 avaient atteint les 40 % de vaccinés et seulement deux (Maurice et les Seychelles) en étaient à 70 %. « Au rythme actuel, il faudra attendre mai 2022 pour avoir en Afrique une couverture vaccinale de 40 % et août 2024 pour atteindre 70 % », a précisé l’OMS-Afrique. A ce stade, 53 pays africains ont administré un total de 264 millions de doses (soit 61% des doses reçues). Pour vacciner pleinement 70 % des Africains, il faut environ 1,6 milliard de doses supplémentaires et redoubler d’efforts pour accroître la demande de vaccins.

Par ailleurs, les difficultés rencontrées par l’Afrique en matière de vaccination sont aggravées par les interdictions de voyager liées à l’Omicron. Au total, plus de 2.700 cas d’Omicron ont été signalés dans 59 pays à travers le monde, dont 11 pays africains comptant pour 33 % du nombre global de cas, selon l’OMS. Toutefois, la part de l’Afrique ne cesse de diminuer et l’Afrique du Sud n’est plus en tête des cas d’Omicron dans le monde. 

Lutte contre le VIH/SIDA: Quelques chiffres sur la situation dans le monde

Le VIH reste un problème majeur de santé publique de portée mondiale, qui a entraîné jusqu’ici  36 millions de décès. Cependant, grâce à un meilleur accès à une prévention, à un diagnostic, à un traitement et à des soins efficaces, concernant aussi les infections opportunistes, l’infection à VIH est devenue une pathologie chronique qui peut être prise en charge avec l’assurance de vivre longtemps et en bonne santé.

Le dernier rapport publié par  l’ONUSIDA pour le suivi de la lutte contre le VIH SIDA révèle que le nombre actuel de personnes infectées par le virus  est d’environ 40 millions de personnes dans le monde parmi lesquels 53% de femmes et  1,8 millions d’enfants.  Au 30 Juin 2021; 28.2 millions de personnes avaient accès à la thérapie antirétrovirale tandis que 680 000 personnes sont décédées de maladies liées au sida en 2020.

On note que depuis 2010, les nouvelles infections au VIH ont diminué de 31 %, passant de 2.1 millions à 1.5 million en 2020. La mortalité liée au sida a diminué de 53 % chez les femmes et les filles et de 41% chez les hommes et les garçons depuis 2010.

Selon le rapport, Les personnes vivant avec le VIH subissent des conséquences plus graves et présentent des comorbidités plus importantes à cause de la COVID-19 que les personnes ne vivant pas avec le VIH et, à la mi-2021, la plupart n’avaient pas accès aux vaccins COVID-19. L’Afrique subsaharienne abrite les deux tiers (67 %) des personnes vivant avec le VIH. Mais les vaccins qui peuvent les protéger n’arrivent pas assez vite. En juillet 2021, moins de 3% des personnes en Afrique avaient reçu au moins une dose d’un vaccin COVID.

La pandémie  de la COVID 19 a gravement perturbé l’accès aux systèmes de santé, aux tests de dépistage et aux traitements dans de nombreux pays. En 2020, le nombre de personnes touchées par des programmes de prévention du sida a diminué de 11%. Le dépistage du sida a globalement fléchi de 22%, retardant le début des traitements dans la plupart des pays.

En 2020, les populations clés (les professionnel(le)s du sexe et leurs clients, les hommes gays et autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, les consommateurs de drogues injectables, les femmes transgenres) et leurs partenaires sexuels représentaient 65% de toutes les nouvelles infections au VIH.

Source: https://www.unaids.org/fr/resources/fact-sheet

Nouveau variant Omicron du COVID-19: que retenir?

Le 23 novembre 2021, un nouveau variant portant de nombreuses mutations a été identifié à partir des données partagées par des virologues sur la base de données internationales GISAID (Global Initiative on Sharing Avian Influenza Data). Il s’agit du variant OMICRON qui a été signalé pour la première fois en Afrique du Sud et a déjà été détecté dans plus de 23 pays à la date d’aujourd’hui. La particularité d’Omicron est la présence de 62 mutations sur son génome par rapport à la souche originelle Wuhan, dont 11 rarement ou jamais observées jusque-là.

Certains cas d’Omicron présenteraient des symptômes « légers » et les experts devraient avoir plus d’informations sur la transmission du nouveau variant dans les prochains jours. « Les données préliminaires suggèrent que le variant Omicron peut être plus transmissible. En termes de patients, il existe des cas allant de légers à graves. Il est toujours à l’étude pour savoir si cela provoque une Covid-19 plus grave », a précisé, la Dre Maria Van Kerkhove, Responsable technique pour la Covid-19 à l’OMS.

Alors que l’attention de la planète porte désormais sur ce nouveau variant, l’OMS souligne que la planète ne doit pas oublier qu’elle est déjà confrontée à « un variant dangereux et hautement transmissible, le variant Delta ». Selon l’Agence sanitaire mondiale de l’ONU, ce variant détecté pour la première fois en Inde, représente actuellement la quasi-totalité des cas de Covid-19 dans le monde.

Sources:

https://news.un.org/fr/story/2021/12

https://www.vidal.fr/actualites/