Le Cabinet LEADD RECRUTE UN (01) SPECIALISTE EN MONTAGE DE PROJETS

Le Cabinet LEADERSHIP ET DEVELOPPEMENT (LEADD) est une entreprise spécialisée dans l’ingénierie des données, notamment en matière de suivi et d’évaluation de projets et programmes. Le siège social de LEADD est basé à Cotonou avec des succursales dans plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre.
Dans le cadre de nos activités, nous recherchons UN (01) SPECIALISTE EN MONTAGE DE PROJETS.

MISSIONS
Sous la responsabilité du Directeur du Développement Institutionnel, du Marketing et de la Production, le spécialiste en montage de projets a pour mission principale d’améliorer la réactivité de LEADD aux opportunités disponibles. De ce fait, il aura la charge de concevoir et de mettre en œuvre une stratégie de croissance basée sur l’identification de nouvelles opportunités de développement et de nouer les partenariats solides nécessaires.

ACTIVITES PRINCIPALES
Elles couvrent les volets stratégique, opérationnel et d’appui
•    Proposer et apporter sa contribution active à la définition des grandes orientations stratégiques en matière d’intelligence économique ;
•    Assurer la veille informationnelle, concurrentielle et technologique permanente afin de détecter les projets pertinents et l’analyse des offres liées aux domaines d’activités ;
•    Élaborer des offres compétitives pour répondre aux appels à propositions de projets en coordination avec les équipes opérationnelles ;
•    Assurer la compréhension des attentes du client et leur prise en compte par les parties prenantes ;
•    Contribuer à l’amélioration des bases de données de LEADD et en assurer une utilisation efficiente ;
•    Construire et développer des réseaux de partenariats extérieurs favorables à l’anticipation sur les opportunités d’affaires ;
•    Mettre en place et gérer un rapportage innovant et régulier de ses actions.
•    Superviser les assistants en gestion de projets et les stagiaires ;
•    Identifier des thèmes de formation appropriés au développement de son secteur d’activités ;
•    Animer des formations et séminaires dans le cadre du renforcement des capacités ;
•    Préparer et animer des formations orientées vers le public externe à LEADD au besoin ;

COMPETENCES REQUISES
•    Être titulaire d’une Licence (BAC +3) au moins en passation des marchés, gestion de projets, marketing et action commerciale ou tout autre diplôme équivalent. ;
•    Avoir au moins 5 ans d’expériences dans le domaine du montage de projets ;
•    Maîtriser les techniques de conduite de projets et des processus de développement commercial ;

APTITUDES
•    Aisance rédactionnelle et esprit d’analyse et de synthèse ;
•    Orientation vers les résultats ;
•    Gestion du stress et flexibilité ;
•    Travail en équipe ;
•    Esprit d’initiative ;
•    Facilité de contact et sens du relationnel ;
•    Facilité à la communication interpersonnelle ;
•    Facilité à respecter les exigences procédurales.

PIECES A FOURNIR (le tout en fichier unique PDF) : 
– 01 Curriculum Vitae précisant la durée exacte chiffrée de chaque expérience attestée, puis la durée totale des expériences attestées.
– Diplôme exigé
– les attestations de bonne fin d’exécution (uniquement celles liées au poste)

Date limite de dépôt des dossiers : 31 Octobre 2023 à 18 heures précises.
Date limite de dépôt des dossiers : 31 Octobre 2023 à 18 heures 00 précises.
Les dossiers seront reçus exclusivement par voie électronique à l’adresse suivante : https://ee.kobotoolbox.org/x/hy1h96Ct

Notes : 
•    Tous les documents (pièces) fournis doivent être regroupés dans un fichier unique, en version PDF portant les noms et prénoms des candidats
Seuls les candidats présélectionnés seront recontactés pour complément de dossiers dans un délai d’un (01) mois après la clôture.

Rapport de l’UNICEF sur la situation vaccinale des enfants dans le monde

Dans son rapport intitulé Situation des enfants dans le monde 2023 : pour chaque enfant, des vaccins, l’UNICEF indique que les niveaux de couverture vaccinale ont diminué dans 112 pays au cours de la pandémie, ce qui constitue le « plus grand recul ininterrompu des vaccinations infantiles en trente ans ». Quelque 67 millions d’enfants dans le monde n’ont donc pas reçu un ou plusieurs vaccins entre 2019 et 2021, en raison des perturbations causées par la pandémie de Covid-19 mais aussi du fait des conflits, des contextes de fragilité et d’une perte de confiance dans la vaccination.

La Directrice exécutive de l’UNICEF, Catherine Russell, a déclaré qu’au plus fort de la pandémie, les scientifiques ont su développer rapidement des vaccins qui ont permis de sauver d’innombrables vies. Malgré ce succès historique, la crainte et la désinformation autour de la vaccination en général se sont pourtant propagées à aussi grande échelle que le virus lui-même. L’UNICEF affirme que la pandémie a interrompu la vaccination des enfants « presque partout », en raison des lourdes exigences pesant sur les systèmes de santé, de la réaffectation des ressources en faveur de la vaccination contre la Covid-19, des pénuries de personnel soignant et des mesures de confinement à domicile. Mais les nouvelles données montrent également une tendance à la baisse de la confiance dans les vaccins pour enfants, allant jusqu’à 44 points de pourcentage dans un certain nombre de pays.

Dans son rapport, l’UNICEF avertit que la perception de l’importance de la vaccination infantile pendant la pandémie de Covid-19, a diminué chez les habitants de 52 des 55 pays étudiés. La Chine, l’Inde et le Mexique sont les seuls pays dans lesquels l’importance perçue des vaccins est restée stable ou a même progressé. Dans la plupart des pays, les personnes âgées de moins de 35 ans et les femmes étaient plus susceptibles d’être moins convaincues de l’importance de faire vacciner les enfants après le début de la pandémie. La vaccination continue de remporter un soutien relativement important en dépit des baisses observées. Dans presque la moitié des 55 pays étudiés, plus de 80% des personnes interrogées ont en effet jugé qu’il était important de faire vacciner les enfants.

Cependant, le rapport avertit que la confluence de plusieurs facteurs suggère que la menace de l’hésitation vaccinale pourrait s’accroître. Parmi ces facteurs, les auteurs du rapport citent l’incertitude relative à la riposte contre la pandémie, l’accès plus généralisé aux fausses informations, la perte de confiance à l’égard des experts et la polarisation politique. L’UNICEF affirme que les enfants nés juste avant ou pendant la pandémie auront bientôt dépassé l’âge auquel les vaccins sont habituellement administrés : il s’avère donc d’autant plus urgent de rattraper les retards accumulés afin de prévenir des flambées épidémiques de maladies mortelles, dans ce que l’UNICEF appelle une « crise de la survie de l’enfant ».

Le rapport rappelle qu’en 2022, les cas de rougeole dans le monde ont doublé par rapport à 2021, et que le nombre d’enfants paralysés par la polio a augmenté de 16% sur la même période. Au cours de la période de trois ans entre 2019 et 2021, la polio a paralysé huit fois plus d’enfants qu’au cours des trois années précédentes. Cette situation souligne la nécessité d’intensifier durablement les efforts en faveur de la vaccination, indique le rapport. L’UNICEF souligne que la pandémie a exacerbé les inégalités existantes en matière de vaccination. Le rapport indique que pour beaucoup trop d’enfants, en particulier dans les communautés les plus marginalisées, la vaccination n’est toujours pas disponible, accessible ou abordable. Près de la moitié des 67 millions d’enfants qui n’ont pas reçu leur vaccins routine entre 2019 et 2021 vivent sur le continent africain. À la fin de l’année 2021, l’Inde et le Nigéria, qui sont décrits dans le rapport comme des « pays affichant une très forte natalité », comptaient le plus grand nombre d’enfants n’ayant pas reçu une seule vaccination de routine. Globalement, dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, un enfant sur dix dans les zones urbaines et un sur six dans les zones rurales n’ont pas reçu une seule vaccination systématique.

L’UNICEF affirme que les enfants non vaccinés vivent dans les communautés difficiles d’accès, dans des zones rurales ou des bidonvilles. De plus, le rapport souligne le rôle de l’autonomisation des femmes dans la décision d’une famille de faire vacciner ses enfants, en précisant que les enfants privés des vaccinations de routine ont souvent des mères qui n’ont pas pu aller à l’école et qui ont peu d’influence sur les décisions familiales.

Rapport mondial sur l’infertilité

Selon un nouveau rapport publié par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), un grand nombre de personnes sont touchées par l’infertilité au cours de leur vie. La question concerne environ 17,5% de la population adulte – soit environ une personne sur six dans le monde –, d’où le besoin urgent d’accroître l’accès à des soins de fertilité abordables et de haute qualité pour ceux qui en ont besoin. Les nouvelles estimations montrent que la prévalence de l’infertilité varie peu d’une région à l’autre. De même, les taux sont comparables que les pays soient à revenu élevé, intermédiaire ou faible, ce qui indique qu’il s’agit d’un problème sanitaire majeur dans tous les pays et dans toutes les régions du monde.
Rappelons que l’infertilité est une maladie du système reproducteur masculin ou féminin, définie par l’incapacité d’obtenir une grossesse après 12 mois ou plus de rapports sexuels réguliers non protégés. Elle peut entraîner une détresse majeure, de la stigmatisation et des difficultés financières, affectant le bien-être mental et psychosocial des personnes concernées.
Malgré l’ampleur du problème, les solutions pour la prévention, le diagnostic et le traitement de l’infertilité – y compris les technologies de procréation assistée telles que la fécondation in vitro (FIV) – restent insuffisamment financées et sont souvent inaccessibles pour beaucoup en raison des coûts élevés, de la stigmatisation sociale et de la disponibilité limitée. À l’heure actuelle, dans la plupart des pays, les traitements de la fertilité sont en grande partie financés directement par les patients, et entraînent souvent des dépenses exorbitantes. Les habitants des pays les plus pauvres consacrent une proportion plus grande de leur revenu aux soins relatifs à la fertilité, par rapport aux habitants des pays plus riches. L’importance des coûts empêche souvent les gens d’accéder aux traitements de l’infertilité, ou peut les précipiter dans la pauvreté, conséquence directe de la recherche de soins.
Bien que le nouveau rapport présente des données convaincantes attestant de la forte prévalence mondiale de l’infertilité, il met en évidence un manque persistant de données dans de nombreux pays et certaines régions. Il appelle à faire en sorte que davantage de données sur l’infertilité, ventilées par âge et par cause, soient disponibles au niveau national pour aider à quantifier l’infertilité, ainsi qu’à savoir qui a besoin de soins de fertilité et comment les risques peuvent être réduits.

Source
https://news.un.org/fr/story/2023/04

Rapport mondial 2022 sur le paludisme: ce qu’il faut retenir!

Selon le dernier Rapport mondial sur le paludisme de l’OMS, publié en décembre 2022, on estime à 247 millions le nombre de nouveaux cas de paludisme en 2021. La région africaine de l’OMS représente environ 95% de tous les cas et 96% de tous les décès en 2021. Dans cette région, près de 80% des décès dus au paludisme concernent des enfants de moins de cinq ans.
En 2019, des projets pilotes de vaccins antipaludiques renforçant l’équité dans l’accès aux outils de prévention pour les personnes les plus vulnérables ont été initiés. L’OMS a déclaré qu’ils permettaient déjà de sauver des vies. Près de 1,5 million d’enfants exposés à un risque élevé de maladie et de décès dus au paludisme au Ghana, au Kenya et au Malawi ont reçu leur première dose du tout premier vaccin antipaludique dans ce cadre. Si la mise en œuvre est généralisée, l’agence sanitaire des Nations Unies estime que chaque année, les vaccins pourraient sauver des dizaines de milliers de vies.
La vaccination contre le paludisme crée également de nouvelles opportunités pour les agents de santé qui peuvent ainsi examiner des enfants qui ne viendraient pas autrement dans les centres de santé ou les hôpitaux et dépister chez eux l’absence d’autres vaccinations. Les pays ont progressé dans l’élargissement de l’accès aux services de lutte contre le paludisme pour les populations les plus exposées. Malgré ces progrès, de nombreuses personnes exposées à un risque élevé de paludisme n’ont toujours pas accès aux services de prévention, de dépistage et de traitement de la maladie, qui se transmet le plus souvent par des piqûres de moustiques.
La poursuite des investissements dans la mise au point et le déploiement de nouveaux vaccins et d’outils de nouvelle génération sera essentielle pour atteindre les objectifs mondiaux de 2030 en matière de paludisme, a affirmé l’OMS. Un deuxième vaccin antipaludique, s’il est approuvé, pourrait contribuer à combler l’écart considérable entre l’offre et la demande et à réduire davantage la morbidité et la mortalité infantiles dues au paludisme. Entre-temps, 28 nouveaux produits en cours de recherche et de développement comprennent des outils innovants tels que de nouveaux types de moustiquaires imprégnées d’insecticide, des appâts ciblés qui attirent les moustiques et le génie génétique des moustiques.
Les difficultés rencontrées pour élargir l’accès aux services de lutte contre le paludisme ont été aggravées, en particulier en Afrique subsaharienne, par la pandémie de Covid-19, les crises humanitaires convergentes, les restrictions financières, la faiblesse des systèmes de surveillance et le déclin de l’efficacité des principaux outils de lutte contre le paludisme, a dit l’agence.
Pour faire face à ces menaces et aider les pays à mettre en place des programmes antipaludiques plus résistants, l’OMS a récemment publié une série de nouveaux outils : une stratégie pour contenir la résistance aux médicaments antipaludiques en Afrique et un cadre, élaboré conjointement par l’OMS et ONU-Habitat, pour guider les dirigeants des villes dans la lutte contre le paludisme en milieu urbain.

Source
https://news.un.org/fr/story/2023/04

Tuberculose en Afrique : Point de la situation

Selon la branche africaine de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le nombre de décès dus à la tuberculose a baissé de 26% dans la région entre 2015 et 2021. Sept pays que sont l’Eswatini, le Kenya, le Mozambique, le Soudan du Sud, le Togo, l’Ouganda et la Zambie ont atteint une réduction de 35% du nombre de décès depuis 2015. Au cours de la dernière décennie, des progrès notables ont été constatés en Afrique de l’Est et en Afrique australe. Des pays à forte charge de morbidité comme l’Éthiopie, le Kenya, le Lesotho, la Namibie, l’Afrique du Sud, la Tanzanie et la Zambie ont dépassé ou atteint l’objectif de 20% de réduction du nombre de nouveaux cas de tuberculose.
Pour franchir cette étape dans le combat contre la tuberculose, les pays africains adoptent de plus en plus des nouveaux outils et de nouvelles orientations recommandés par l’OMS. Ce qui se traduit par un accès précoce à la prévention et aux soins de la tuberculose et par de meilleurs résultats. L’utilisation de tests de diagnostic rapide a augmenté, améliorant la capacité des pays à détecter et à diagnostiquer les nouveaux cas de la maladie. L’autre volet a porté sur une campagne de sensibilisation, avec un accent sur la recherche et le suivi des cas. Le Nigéria, par exemple, est parvenu à augmenter considérablement le nombre de cas de tuberculose détectés au niveau national de 50 % en 2021. Abuja a ainsi adopté des approches innovantes telles que l’adoption, le déploiement et l’expansion de nouveaux diagnostics dans le traitement quotidien de la tuberculose, l’utilisation des technologies numériques.
Malgré ces résultats encourageants, le continent reste encore confronté à certains défis, notamment les retards de diagnostic et de dépistage. Selon l’OMS, près 40% des personnes vivant avec la tuberculose en 2021 ne connaissaient pas leur diagnostic, ou la maladie n’avait pas été déclarée. En outre, l’Agence sanitaire mondiale de l’ONU estime à un million le nombre de personnes vivant avec la tuberculose dans la région, qui n’ont pas encore été dépistées.
La tuberculose reste la maladie infectieuse la plus mortelle au monde. Elle tue 1,6 million de personnes chaque année et en affecte des millions d’autres, entraînant des répercussions considérables sur les familles et les communautés. La pandémie de Covid-19, conjuguée aux crises actuelles que sont les conflits armés, l’insécurité alimentaire, les changements climatiques et l’instabilité politique et économique, a anéanti des années de progrès réalisés dans la lutte contre la tuberculose. L’année dernière, pour la première fois en près de 20 ans, l’OMS a signalé une hausse du nombre de personnes atteintes de tuberculose et de tuberculose pharmacorésistante, ainsi qu’une augmentation du nombre de décès. En 2021, près d’un demi-million de personnes ont contracté une tuberculose multirésistante et seule une personne sur trois a eu accès à un traitement.

Rapport mondial 2022 sur la nutrition

L’UNICEF a publié le 06 Mars 2023 un rapport sur la nutrition qui indique qu’entre 2020 et 2022, le nombre de femmes enceintes ou allaitantes souffrant de malnutrition aiguë est passé de 5,5 à 6,9 millions, dans 12 pays en crise alimentaire. Ces 12 pays que sont l’Afghanistan, le Burkina Faso, l’Éthiopie, le Kenya, le Mali, le Niger, le Nigéria, la Somalie, le Soudan, le Soudan du Sud, le Tchad et le Yémen constituent « l’épicentre de cette crise nutritionnelle ». Celle-ci est aggravée par la guerre en Ukraine et par la sécheresse, les conflits et l’instabilité que connaissent actuellement certains pays.

Le document, basé sur l’analyse de données relatives à l’insuffisance pondérale et à l’anémie dans presque tous les pays, estime que plus d’un milliard de femmes et d’adolescentes dans le monde souffrent de dénutrition (se traduisant notamment par une insuffisance pondérale et une petite taille), de carences en micronutriments essentiels et d’anémie. Publié en amont de la Journée internationale des femmes, le rapport note qu’une nutrition inadéquate chez les femmes et les filles peut entraîner un affaiblissement des défenses immunitaires, un mauvais développement cognitif et un risque accru de complications graves durant la grossesse et l’accouchement. Elle peut aussi générer des effets néfastes et irréversibles menaçant la survie, la croissance et l’apprentissage des enfants, ainsi que leur future capacité à subvenir à leurs besoins. Le rapport souligne également qu’à l’échelle mondiale, 51 millions d’enfants de moins de 2 ans présentent un retard de croissance. Dans près de la moitié des cas, celui-ci survient durant la grossesse et les six premiers mois de la vie, lorsque la nutrition d’un enfant dépend entièrement de sa mère.

L’Asie du Sud et l’Afrique subsaharienne concentrent 68% des femmes et adolescentes présentant un poids insuffisant et 60% de celles souffrant d’anémie. Les crises mondiales continuent d’entraver de manière disproportionnée l’accès des femmes à une alimentation nutritive. En 2021, elles étaient 126 millions de plus que les hommes à connaître l’insécurité alimentaire, contre 49 millions de plus en 2019, ce qui signifie que les disparités entre les genres dans ce domaine ont plus que doublé.

Source:

https://news.un.org/fr/story/2023/03

Réalisation de l’édition 2022 de l’enquête de satisfaction des clients et partenaires de NSIA vie assurances

Pour son bilan annuel et sa stratégie de fidélisation des clients et d’élargissement de sa part du marché, NSIA Vie Assurances a commandité pour le compte de l’année 2022 une enquête de satisfaction en vue de mesurer le niveau de satisfaction de ses clients et partenaires et aussi de sonder leurs aspirations relativement à de nouvelles offres ou modalités d’offres de services. Il s’agissait plus spécifiquement, de recueillir, chez ses clients, les perceptions, les attentes, les besoins, les préférences et les suggestions sur les produits offerts d’une part et de mesurer l’appréciation globale que font les partenaires de la collaboration avec NSIA Vie Assurances d’autre part. Il fallait également analyser les motifs de satisfaction et d’insatisfaction des clients et des partenaires et de documenter les attentes et priorités de ces derniers.
le cabinet LEADERSHIP ET DEVELOPPEMENT a été choisi pour mener cette activité entre Septembre et Octobre 2022. L’étude a été conduite suivant une méthode d’entretien direct avec un tirage aléatoire systématique des cinq cibles concernées que sont les Clients particuliers, les entreprises clientes, les Banques et institutions de micro finance, les courtiers et les Fournisseurs. Un ensemble de 495 personnes ont été enquêtées. L’équipe de réalisation de l’enquête était composée d’un informaticien, d’un statisticien et de 10 agents de collecte